Maman Voyage

On a trouvé la nounou… Ouf !!!

On a trouvé la nounou... Ouf !!!Il était moins une ! Je reprends le travail le 1er avril et après quasi deux mois de recherche je désespérais de trouver la perle rare…

Mais comme je disais dans mon précédent post, nous avons signé la veille de nos vacances avec « Sissi », une nounou qui a réussi un sans faute à l’épreuve de l’interrogatoire, qui nous a fait une super bonne impression, qui a fait sourire les enfants, qui a d’excellentes références, et qui en plus parle anglais (ce n’était pas un critère de sélection mais why not ?). Bref, rien à dire, enfin presque… oui, parce que tout ne peut pas être totalement parfait… le seul petit hic c’est que « Sissi » habite à 45 minutes de chez nous et qu’elle a des enfants en bas âge donc on prend quand même le risque qu’elle nous quitte pour une famille qui habiterait plus près de chez elle… On lui a bien mis la pression sur le sujet d’ailleurs…

Nous voilà donc embarqués dans la périlleuse aventure de la garde partagée. Je vous ferai part de ses joies et de ses peines. On croise les doigts pour que tout se passe bien avec la nounou, avec l’autre famille, avec les soucis logistiques, les horaires, les vacances et puis gérer l’administratif : jamais je n’aurais cru qu’il  était si difficile de calculer un salaire ! Il m’a fallu des heures de travail pour bien ficeler le contrat et réaliser tous les calculs. J’ai également bénéficié de la relecture avisée de l’APEGE (association des parents employeurs) dont je recommande fortement les services. Bref, pas facile de gérer soi-même son mode de garde mais la crèche c’était juste IMPOSSIBLE malgré mon forcing (« pas de place, pas de place, pas de place ! » C’est bon, j’ai compris !).

Le plus dur dans l’histoire ça va être de laisser mon petit cœur pour aller au boulot. J’ai adoré mon congé parental et je l’aurais bien prolongé un peu… BEAUCOUP !!! D’ailleurs,  je n’ai pas dit mon dernier mot et j’en reprendrai peut-être un autre  ! Après tout, jusqu’au 3 ans de l’enfant, c’est possible et l’entreprise ne peut pas refuser. C’est juste dommage que ça ne paye pas d’être mère au foyer… mais bon, dans la famille on aime les pâtes 😉 Donc à suivre…

En attendant, je vous laisse avec le fameux questionnaire que nous avions utilisé pour recruter la nounou, l’idéal étant de poser un maximum de questions au téléphone pour ne pas perdre son temps à recevoir des cas sociaux !

Après, reste surtout le feeling, le feeling et le feeling !!!

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